LES COLLABORATEURS

1. Comportement envers les collaborateurs et entre collaborateurs

Le comportement de l’entreprise envers ses collaborateurs (y compris ses futurs collaborateurs potentiels) est marqué par le respect et l’équité. L’entreprise respecte la personnalité de ses salariés et rejette toute forme de harcèlement et de discrimination ainsi que toute différence de traitement.

Nul ne doit être désavantagé ou favorisé, harcelé ou exclu en raison de sa nationalité, de son origine ethnique ou sociale, de la couleur de sa peau, de son âge ou de son apparence, de son sexe, d’un handicap, de son identité sexuelle ou de genre, de sa religion ou de ses convictions, de son appartenance à un syndicat ou à un parti politique, ou d’une grossesse.

2. Protection des données et utilisation de médias électroniques

L’entreprise s’engage à traiter les données personnelles de manière confidentielle et à les collecter, les traiter et les stocker uniquement en conformité avec la législation applicable en matière de protection des données. L’entreprise a désigné un délégué à la protection des données auquel chaque collaborateur peut s’adresser pour toute question ou remarque.

Dans la mesure où l’entreprise fournit l’accès et l’utilisation de médias électroniques à des fins commerciales, ces médias électroniques ne doivent pas être utilisés à des fins contraires aux lois, réglementations, instructions, politiques ou autres dispositions de l’entreprise.

3. Comportement au sein de l’entreprise

La tolérance, le respect, l’objectivité et l’équité sont de rigueur dans les relations entre les membres du personnel et avec les tiers. Cela vaut également pour l’utilisation des médias dits sociaux. Les collaborateurs doivent toujours dissocier leurs intérêts privés de ceux de l’entreprise.

La consommation de drogues, de boissons alcoolisées et de substances enivrantes pendant les heures de travail est interdite. De même, il est interdit d’exercer son activité sous l’influence de drogues, de boissons alcoolisées et de substances enivrantes.

4. Protection contre le harcèlement

Tous les travailleurs, clients et fournisseurs ont le droit d’être traités de manière équitable, respectueuse, digne, courtoise et sans discrimination. L’entreprise s’engage à respecter ce principe et à garantir ce droit dans notre entreprise. L’entreprise respecte les principes de l’égalité des chances sur le lieu de travail. Les décisions relatives au personnel (par exemple en matière de recrutement, de sélection, de formation, de promotion et de rémunération) sont basées sur les qualifications, l’expérience et d’autres critères professionnels. L’entreprise ne pratique pas de discrimination fondée sur le sexe, la race, l’origine ethnique, la religion ou les convictions politiques, le handicap, l’âge ou l’orientation sexuelle.

Il incombe à l’entreprise de préserver le droit des travailleurs à un environnement de travail exempt de harcèlement sexuel ou de tout autre traitement défavorable illicite. Toute forme de harcèlement sexuel ou autre traitement défavorable inadmissible fondé sur le sexe, la race ou l’origine ethnique, la religion ou les convictions, un handicap, l’âge ou l’orientation sexuelle ne sera pas tolérée et doit être évitée.

Le harcèlement sexuel est un comportement non désiré à connotation sexuelle, y compris des activités sexuelles non désirées et des incitations à de telles activités, des contacts physiques à connotation sexuelle, des remarques à connotation sexuelle, ainsi que l’exposition non désirée et l’affichage ostensible de contenus pornographiques, qui a pour objet ou pour effet de porter atteinte à la dignité d’une personne, notamment en créant un environnement intimidant, hostile, dégradant, humiliant ou offensant. Le harcèlement sexuel est puni par la loi. Voici quelques exemples de harcèlement sexuel illicite :

  1. Incitation à des actes sexuels ou sollicitation de ceux-ci en vue d’obtenir des avantages sur le lieu de travail ;
  2. Acculer, caresser, pincer, toucher ou tout autre contact corporel non désiré à connotation sexuelle ;
  3. Spéculations publiques sur la vie sexuelle d’une personne ou demandes répétées de renseignements à ce sujet ;
  4. Plaisanteries, remarques ou allusions à caractère sexuel sur une personne ou sur les hommes et les femmes en général ; ou
  5. Affichage visible de représentations pornographiques sur le lieu de travail.

Voici des exemples d’autres discriminations interdites en raison du sexe, de l’âge, de la race, de l’origine ethnique, de la religion ou des convictions, d’un handicap ou de l’orientation sexuelle :

  1. Atteinte à la dignité d’un travailleur par des remarques ou un comportement insultants ou dégradants (par exemple en raison de son origine étrangère) ;

  2. Menaces ou insinuations selon lesquelles la poursuite de la relation de travail dépend de la tolérance d’un certain comportement ;

  3. Contraindre un travailleur à subir des actes humiliants ou dégradants, tels que des brimades liées à l’orientation sexuelle.

Si des collaborateurs ont été victimes de harcèlement ou de toute autre forme de désavantage inadmissible, ils sont tenus de le signaler au service des ressources humaines.

5.  Informations confidentielles

L’entreprise confie chaque jour de nombreuses informations à ses collaborateurs dans l’exercice de leur activité et des tâches qui leurs sont confiées. Lorsqu’il s’agit d’informations identifiées comme confidentielles ou reconnaissables comme telles (« informations confidentielles »), celles-ci doivent être protégées et tenues secrètes. La même obligation de confidentialité s’applique aux informations communiquées à l’entreprise par ses partenaires commerciaux en vertu d’un engagement de confidentialité.

Pour protéger les Informations confidentielles, il convient notamment de respecter les points suivants :

  • Les informations confidentielles ne doivent pas être divulguées à d’autres personnes (y compris des collègues ou des membres de la famille) à l’intérieur ou à l’extérieur de la société, que ce soit pendant ou après la fin de la relation de travail, à moins que cela ne soit nécessaire à l’exécution de votre travail pour l’entreprise.

  • Les informations confidentielles ne doivent pas être discutées (en personne ou sur un téléphone portable) dans des lieux publics (halls d’entrée, couloirs, transports publics, lieux publics, toilettes, etc.) où une conversation peut être entendue.

  • Les documents contenant des informations confidentielles doivent être conservés de manière à empêcher toute consultation par des personnes non autorisées.

  • Il faut notamment veiller à ce que les visiteurs n’aient pas accès aux documents de l’entreprise. Par conséquent, les visiteurs ne sont pas autorisés à se rendre dans les locaux commerciaux et les bureaux de la société sans être accompagnés.

6. Sécurité au travail

L’entreprise respecte les dispositions légales visant à garantir la santé et la sécurité sur le lieu de travail et a pris les mesures nécessaires à cet égard afin d’éviter les accidents du travail et de protéger la santé des collaborateurs. Les prescriptions légales en matière de protection du travail, de santé et de sécurité au travail ainsi que de sécurité des bâtiments sont respectées dans le but de réduire au maximum le risque d’accidents et de maladies professionnelles.

Chaque collaborateur est coresponsable de la sécurité au travail ; les prescriptions en matière de sécurité au travail, de protection de la santé et de protection de l’environnement doivent être strictement respectées. Pour la manipulation de substances dangereuses, il convient de respecter les instructions d’exploitation et les fiches de données de sécurité établies conformément aux dispositions légales.